Lors de sa dernière réunion (8/06/07), notre équipe qui amorce son ouverture sur toutes les littératures d'Extrême-Orient, a décidé - entre autres points majeurs tels que la création d'une revue en ligne (on en reparlera) et l'organisation d'un colloque sur la traduction (voir notre appel à communication) - de créer sur ce blog une nouvelle rubrique sous l'intitulé : « Traduit de … ».
Cette nouvelle rubrique est naturellement ouverte à tous les membres de l'équipe, selon ses goûts, ses fantaisies et ses compétences. Elle aura pour vocation de traiter de la parution des traductions de textes littéraires depuis leur version originale, chinoise, japonaise, vietnamienne, coréenne, hindi, thaï, etc.. Son but premier sera donc de mieux suivre l'actualité de la littérature asiatique traduite vers le français.
Ce suivi a été, jusqu'à présent, plus ou moins pris en charge par des billets intitulés « Nouveautés éditoriales » ; cet intitulé sera dès lors utilisé pour signaler la parution d'ouvrages autres que des traductions (essais, revues, annales, etc.) en rapport avec nos sujets de prédilection.
Ce suivi a été, jusqu'à présent, plus ou moins pris en charge par des billets intitulés « Nouveautés éditoriales » ; cet intitulé sera dès lors utilisé pour signaler la parution d'ouvrages autres que des traductions (essais, revues, annales, etc.) en rapport avec nos sujets de prédilection.
Donc, on ne va pas tarder - je le souhaite - à voir apparaître ici des billets intitulés par exemple « Traduit de chinois (001) »; « Traduit du japonais (001) », « Traduit du coréen (001) », etc. qui signaleront en détail, ou plus brièvement les publications dignes d'intérêt dans chacun de ces domaines.
Naturellement, on devra se demander si on doit prendre également en charge les traductions d'écrivains relevant de nos aires culturelles respectives même s'ils n'écrivent pas, ou plus, ou parfois seulement, dans leur langue maternelle, mais compose dans une langue occidentale, savoir l’anglais, l’allemand, l’italien, etc. Le débat est donc ouvert, mais si vous l'estimez utile et judicieux, vous pouvez créer des billets intitulés « Traduit de l'anglais (001) », « Traduit de l'italien (001) », etc.
De la même manière, on pourrait s'interroger sur l'opportunité de rendre compte des œuvres dont la version française provient d'une traduction autre que la version originale ? Moins fréquent que par le passé, ce recours à une version relais persiste et nous pourrions aussi en rendre compte.
Le cas des productions des écrivains d'origine asiatique s'exprimant accessoirement ou définitivement en français sera mis de côté pour l’instant. Elles posent, en effet, un problème qui dépasse l’ambition majeure de ce billet : stimuler les bonnes volontés pour mieux rendre compte de la présence, dans nos librairies et nos bibliothèques, des littératures d'Asie en traduction.
Ce suivi ponctuel, tributaire de l'actualité éditoriale, ne doit, bien entendu, pas décourager ceux qui préféreraient aborder ce sujet sous forme de synthèses, de débats et de polémiques. Au moment où les littératures d'Asie en traduction sont proposées par un nombre grandissant d'éditeurs et défendues par des traducteurs de plus en plus nombreux et provenant d'horizons très divers, il nous a semblé néanmoins salutaire de faire l'effort d'orienter les lecteurs non spécialistes. L'idéal serait de le faire avec la collaboration des éditeurs qui peuvent nous faire parvenir les ouvrages qu'ils éditent, mais, naturellement, nous garderons notre indépendance de jugement. (L.C.T.)
Ce suivi ponctuel, tributaire de l'actualité éditoriale, ne doit, bien entendu, pas décourager ceux qui préféreraient aborder ce sujet sous forme de synthèses, de débats et de polémiques. Au moment où les littératures d'Asie en traduction sont proposées par un nombre grandissant d'éditeurs et défendues par des traducteurs de plus en plus nombreux et provenant d'horizons très divers, il nous a semblé néanmoins salutaire de faire l'effort d'orienter les lecteurs non spécialistes. L'idéal serait de le faire avec la collaboration des éditeurs qui peuvent nous faire parvenir les ouvrages qu'ils éditent, mais, naturellement, nous garderons notre indépendance de jugement. (L.C.T.)
Je profite de ce billet pour saluer les visiteurs de plus en plus nombreux de ce blog : vous étiez 333, le 12 février, 3333, le 7 juin et 3442, ce soir (9/06/07). Beaucoup de chemin reste à parcourir pour qu'il devienne un outil d'orientation aussi fiable qu’incontournable. Il n'occupe, pour l'heure, que la 1 174 059ème position dans le palmarès des blogs recensés par le site Technorati.com. Certains d'entre vous, lui ont fait franchir quelques milliers de places en le glissant dans la liste de leurs favoris sur leur propre blog ; d'autres (trop peu nombreux à mon goût) ont même fait l'effort de laisser un commentaire. Merci à tous. (P.K.)