Ce blog est né voici 87 jours et totalise plus de 300 visites depuis la pause récente d’un compteur. Ce succès - somme toute fort relatif ! - montre que son audience dépasse le cadre restreint des membres de la Jeune Equipe Littérature chinoise et traduction, des collègues de l’Université de Provence et même - on peut le supposer -, de ceux qui travaillent directement sur la littérature chinoise.
Si c’est effectivement le cas, c’est sans doute grâce au coup de pouce donné, voici une semaine, par Pierre Haski sur son blog “Cinq ans en Chine” lequel est appelé à connaître le même succès que “Mon journal de Chine” dont, cela dit en passant, les meilleurs billets sont édités aux Editions Arènes, sous le titre Cinq ans en Chine. Chronique d’une Chine en ébullition (2006, 573 p.)
Ce billet est le 13ème d’une série inaugurale qui ne demande qu’à s’allonger et à se diversifier. Il a pour but de lancer un appel aux bonnes volontés, savoir ceux qui en ont reçu l’invitation et qui ont bien voulu s’inscrire ou envisagent de le faire dans un avenir proche. N’hésitez plus ! Poster vos billets pour que ce blog devienne rapidement une référence sur la littérature chinoise, voire sur les littératures d’Asie. Ce serait, à ma connaissance, le premier à relever ce défi. A lire les commentaires laissés par les amateurs des littératures d’Asie sur la toile, on comprend la nécessité - voire l’urgence - qu’il y a de leur fournir des outils pour leur permettre de s’orienter dans la forêt déjà bien fournie des traductions. Ce blog pourrait également devenir un point de repère pour les spécialistes du domaine à l’affût d’informations sélectionnées et mise en valeur, touchant à leur sujet de prédilection, au monde de l’édition, à la vie littéraire en général, etc..
Ce pourrait être tout cela, encore faudrait-il que ce but soit partagé comme les efforts pour s’en approcher. Le succès d’un blog dépend plus de sa réactivité par rapport à son objet et à la fréquence de publication de ses billets, qu’à toutes les autres de ses qualités : fluidité de la présentation, richesse et pertinence des liens et des renvois, lisibilité de l’interface, etc. Certes, l’originalité, le génie, la notoriété ne gâchent rien, mais chaque billet ne doit pas avoir pour ambition de rivaliser avec les grands prosateurs du moment ou du passé. Quant à ceux qui éprouvent des difficultés d’ordre purement technique, ils peuvent m’envoyer leur billet par courrier ; je me charge de les mettre en ligne dans les meilleurs délais. A bientôt donc, au plaisir de vous lire et de partager - par billet interposé - la même passion pour les littératures d’Asie.
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