Les 17 et 18 octobre 2008 s'était tenu à l'Université de Provence un colloque co-organisé par L'« Equipe sur les Cultures et Humanités Anciennes et Nouvelles Germaniques et Slaves » (EA 4236) et notre équipe. Deux années se sont écoulées depuis. Les actes de cette manifestation baptisée « Traduire : langues et réalités. Un art de la contrainte » viennent de sortir aux Publications de l'Université de Provence (Aix-en-Provence) sous le titre Traduire : un art de la contrainte.
Cet ensemble de 295 pages sur lequel Charles Zaremba a veillé avec une grande attention réunit 22 intéressantes contributions (voir la table des matières téléchargeable sur le site de l’éditeur) parmi lesquelles celles de membres de notre équipe :
« Les interventions et discussions qui ont jalonné les deux jours du colloque ont affirmé encore une fois (concluent N. Dutrait et C. Zaremba (p. 6), les éditeurs et rédacteurs d’un « Prélude » à deux voix), que par son caractère non mécanique, la traduction était un art où il s’agit non de créer, mais de re-créer, et c’est dans le re- que réside toute la contrainte qui pèse sur le traducteur (que, naturellement, il faut imaginer heureux).» (P.K.)
Cet ensemble de 295 pages sur lequel Charles Zaremba a veillé avec une grande attention réunit 22 intéressantes contributions (voir la table des matières téléchargeable sur le site de l’éditeur) parmi lesquelles celles de membres de notre équipe :
- Philippe Che, « Repérer et traduire le langage allusif chez Ge Hong (283-343) », pp. 57-67.
- Pierre Kaser, « Traduire le théâtre littéraire chinois ancien : Les Amants de la scène de Li Yu (1611-1680) », pp. 67-79.
- Noël Dutrait, « Traduction de la réalité et du réalisme magique chez Mo Yan », pp. 81-93.
« Les interventions et discussions qui ont jalonné les deux jours du colloque ont affirmé encore une fois (concluent N. Dutrait et C. Zaremba (p. 6), les éditeurs et rédacteurs d’un « Prélude » à deux voix), que par son caractère non mécanique, la traduction était un art où il s’agit non de créer, mais de re-créer, et c’est dans le re- que réside toute la contrainte qui pèse sur le traducteur (que, naturellement, il faut imaginer heureux).» (P.K.)
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