En vous souhaitant une bonne rentrée à tous - pour certains la reprise a déjà eu lieu, pour les autres, elle pointe son nez avec de plus en plus d'insistance -, je me permets de vous rappeler que notre appel à communication pour la Journée d'étude sur la traduction des littératures d’Inde et d’Extrême-Orient du 26 octobre organisée par notre équipe court encore jusqu'au 15 septembre. Vous trouverez le détail de cette manifestation de rentrée à la fois sur notre site (ici) et sur ce blog (là). Ne tardez plus !
J'en profite pour signaler à ceux qui auraient manqué l'information publiée sur Fabula le 9/6/07 - c'est du reste mon cas -, qu'un colloque international intitulée « Les traces du traducteur » se tiendra du 10 au 12 avril 2008 à l'Institut National des Langues et Civilisations Orientales (Paris). Son thème ne peut que retenir l'attention des membres de notre équipe et ceux qui, de plus en plus nombreux et fidèles (de Séoul à Yaounde, Tôkyô à Berne, New York à Bangkok, La Réunion à Bruxelles selon Sitemeter) suivent ses activités. Voici le début de l'argumentaire proposé par ses organisateurs, Magdalena Nowotna et Amir Moghani :
Ce colloque s'attachera à réfléchir aux traces du traducteur qui existent et sont parfois tout simplement inévitables par inadéquation des langues. Quand il s'agit de manque de catégorie grammaticale, de catégorie culturelle, d'un néologisme, d'une expression figée, d'enchevêtrements et de détournements sémantiques insolites ou encore des contorsions et des sinuosités syntaxiques il faut que le traducteur trouve une solution. Car il faut bien transmettre toutes ces bizarreries et étrangetés qui sont souvent porteuses du message essentiel littéraire ; en supportant la structure sensible, elles sont à la fois fragiles et cruciales dans le processus traductif, un défi pour le traducteur, un enjeu pour la traduction. Lire la suite ici.
Vous avez encore le temps de proposer une contribution, la date limite pour l'envoi des résumés est, en effet, fixée au 30 septembre 2007. A vos pinceaux. (P. K.)
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