« Entrée libre dans la limite des places disponibles » :
c'est ce qu'indique la page du site de de
l'Institut national d'histoire de l'art (INHA)
qui avertit que
Mardi 2 décembre, à 18 heures,
à l'Auditorium de la Galerie Colbert
[2 rue Vivienne, Paris, II., accès 6 rue des Petits Champs, voir le plan],
se tiendra un Dialogue entre
Gao Xingjian,
peintre, cinéaste, prix Nobel de littérature en 2000
et
Thierry Dufrêne,
c'est ce qu'indique la page du site de de
l'Institut national d'histoire de l'art (INHA)
qui avertit que
Mardi 2 décembre, à 18 heures,
à l'Auditorium de la Galerie Colbert
[2 rue Vivienne, Paris, II., accès 6 rue des Petits Champs, voir le plan],
se tiendra un Dialogue entre
Gao Xingjian,
peintre, cinéaste, prix Nobel de littérature en 2000
et
Thierry Dufrêne,
professeur à l’université Paris X - Nanterre,
Directeur du Centre de Recherche en Histoire de l'Art et Histoire des Représentations
(CHAHR), spécialiste reconnu de l'œuvre d'Alberto Giacometti.
Directeur du Centre de Recherche en Histoire de l'Art et Histoire des Représentations
(CHAHR), spécialiste reconnu de l'œuvre d'Alberto Giacometti.
Le Dialogue sera précédé de la projection en avant-première du film
Après le déluge
réalisé par Gao Xingjian en 2008,
'film-peinture' dont on peut se faire une petite idée à travers quelques clichés
de la danseuse
Francesca Domenichini
qui a participé au tournage,
déposés sur son portail MySpace.
Je lui ai emprunté celui qui illustre ce billet-annonce
d'un rendez-vous à ne pas manquer,
dans la limite des places disponibles.
Après le déluge
réalisé par Gao Xingjian en 2008,
'film-peinture' dont on peut se faire une petite idée à travers quelques clichés
de la danseuse
Francesca Domenichini
qui a participé au tournage,
déposés sur son portail MySpace.
Je lui ai emprunté celui qui illustre ce billet-annonce
d'un rendez-vous à ne pas manquer,
dans la limite des places disponibles.
2 commentaires:
Il s'agit plutôt de son portail MySpace, non ?
Quel dommage de ne pouvoir se rendre à Paris pour ça...!
Merci, Thomas. J'ai corrigé ce symptomatique lapsus calami.
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