Mardi 16 novembre, entre 16h30 et 17 h, Jacques Munier s’entretenait sur France culture dans la seconde partie de l’émission « A plus d’un titre » avec Jean Lévi au sujet d’une nouvelle édition de sa traduction du Sunzi bingfa. Le lendemain, mercredi 17 novembre, il profitait du même cadre pour donner la parole à un autre poids lourd de la sinologie contemporaine qui s’attache, lui aussi, à décrypter la pensée chinoise ancienne et en tire partie pour réfléchir, en philosophe, sur notre époque.
L’échange, toujours accessible sur le site de la radio, a donc offert l'occasion à Jean-François Billeter de faire comprendre aux auditeurs les enjeux de son dernier ouvrage - Notes sur Tchouang-tseu et la philosophie (Paris : Allia, 2010, 111 p.) -, qui « reprend certains problèmes abordés dans les Leçons sur Tchouang-tseu [Allia, 2002, 153 p.] et les éclairent d’un jour nouveau. Il aborde en particulier la nature des difficultés sur lesquelles butent les échanges entre l’Europe et la Chine sur le plan de la pensée. Le Tchouang-tseu permet d’appréhender des aspects inaperçus mais essentiels de l’expérience humaine la plus commune. Nul problème n’est compliqué dès lors qu’il est ramené à l’essentiel. »
Le site de l’éditeur, auquel J.-F. Billeter a confié ces derniers travaux, permet aux plus curieux de lire les cinq premières pages de ce texte très stimulant. On y trouve également les informations sur la nouvelle version de l’Essai sur l’art chinois de l’écriture naguère publié chez Skira (Genève, 1989) qui ressort sous un titre légèrement revu : Essai sur l’art chinois de l’écriture et ses fondements (Allia, 2010, 416 pages). (P.K.)
L’échange, toujours accessible sur le site de la radio, a donc offert l'occasion à Jean-François Billeter de faire comprendre aux auditeurs les enjeux de son dernier ouvrage - Notes sur Tchouang-tseu et la philosophie (Paris : Allia, 2010, 111 p.) -, qui « reprend certains problèmes abordés dans les Leçons sur Tchouang-tseu [Allia, 2002, 153 p.] et les éclairent d’un jour nouveau. Il aborde en particulier la nature des difficultés sur lesquelles butent les échanges entre l’Europe et la Chine sur le plan de la pensée. Le Tchouang-tseu permet d’appréhender des aspects inaperçus mais essentiels de l’expérience humaine la plus commune. Nul problème n’est compliqué dès lors qu’il est ramené à l’essentiel. »
Le site de l’éditeur, auquel J.-F. Billeter a confié ces derniers travaux, permet aux plus curieux de lire les cinq premières pages de ce texte très stimulant. On y trouve également les informations sur la nouvelle version de l’Essai sur l’art chinois de l’écriture naguère publié chez Skira (Genève, 1989) qui ressort sous un titre légèrement revu : Essai sur l’art chinois de l’écriture et ses fondements (Allia, 2010, 416 pages). (P.K.)
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